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La Zizanie - Sound samples
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LA ZIZANIE

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Je suis votre banquier ! Eh bah, raison de plus...

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Daubray-Lacaze veut prouver à son banquier qu'il détient un chèque pouvant éponger ses dettes. Il l'emmène près du coffre-fort qui détient le précieux document, puis commence à ouvrir le coffre, non sans être pointilleux sur la discrétion...
[Secrétaire] Monsieur, le Directeur de la banque est dans l'antichambre !
[Daubray-Lacaze gromelle] Brrbrfr... qu'est-ce qu'y fout là, lui...
[Il l'accueille] Aaaaah !
[Le banquier] Aaaah, Monsieur Daubray-Lacaze !
[Ils entrent] Je peux m'asseoir ?
[Daubray-Lacaze] Non, restez debout !
[Le banquier] Ecoutez, si je me permets d'insister...
[Daubray-Lacaze] Oui, je sais, c'est pour me parler encore de mon découvert !
[Le banquier] Oui !
[Daubray-Lacaze] Je m'en fous !
[Il lui montre le coffre contenant le chèque des japonais]
[Le banquier poursuit] Vous savez, la Direction Générale à Paris...
[il ne l'écoute pas et commence à ouvrir le coffre]
[Daubray-Lacaze] Tournez-vous, vous !
[Le banquier, vexé] Non, mais, je... je suis votre banquier !
[Daubray-Lacaze] Eh bah, raison de plus !
[Le banquier se tourne mais reste attentif. Daubray-Lacaze continue le dévérouillage, puis s'interrompt] Bouchez-vous les oreilles !
[Le banquier s'impatiente] Ecoutez, Monsieur Daubray-Lacaze...
[Daubray-Lacaze insiste] Bouchez-vous les oreilles !!
[Il s'exécute. Daubray-Lacaze poursuit, puis...] Mieux que çaaaaaaaa !
[Il court vers le banquier, puis lui enfonce les doigts encore plus profond] Raaaaaaah !

Il y a un mois, c'était déjà la fin du mois, et puis dans un mois ce sera encore la fin du mois...

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C'est la fin du mois, il est donc temps de payer les ouvriers. Une tâche que Guillaume Daubray-Lacaze n'effectue pas de gaieté de coeur...
[Secrétaire] Monsieur le Directeur !
[Daubray-Lacaze] Oui ?
[La secrétaire] Il faut signer les chèques !
[Daubray-Lacaze fait semblant d'avoir mal au ventre] Oh, là là ! Oh non, ça, je ne pourrai pas, non, ça, je ne pourrai pas...
[La secrétaire] C'est la fin du mois !
[Daubray-Lacaze, effaré] Encore ?!
[Bah oui...]
[Daubray-Lacaze, faisant de grands gestes] M'enfin, il y a un mois, c'était déjà la fin du mois, et puis dans un mois ce sera encore la fin du mois, et puis après... faut que ça s'arrête !
[Il continue de gémir] Oh non, ça, je ne pourrai pas, ça...Plus tard, cette même secrétaire accueille les employés dans le bureau du directeur pour recevoir leur chèque de paye.
[La secrétaire] M. Saucereau !
[L'employé est de taille moyenne, il lui remet un chèque de taille normale] Merci, Monsieur le Directeur !
[La secrétaire] M. Bernardin !
[L'employé est de petite taille, M. Daubray-Lacaze lui remet un chèque de taille minuscule, non sans avoir pris le temps de vérifier qu'il était bien debout]
[La secrétaire] M. Dutrex !
[L'employé est très grand et imposant. M. Daubray-Lacaze sort un grand chéquier, puis, révisant son jugement, ressort un chéquier gigantesque de son tiroir, et lui tend le chèque avec une grimace]

Votre âge ? 17 ans... de moins que mon mari !

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Bernadette se présente aux élections municipales contre son mari. C'est donc lui qui, contre son gré, lui fait remplir les formalités d'usage.
[Daubray-Lacaze] Nom, prénom ?
[Bernadette] Daubray, née Lacaze... Bernadette.
[Daubray-Lacaze] Nationalité ?
[Bernadette] Française.
[Daubray-Lacaze] Mariée ?
[Bernadette] Hélas...
[Il la regarde avec dédain, puis poursuit]
[Daubray-Lacaze] Votre âge ?
[Bernadette] 17 ans !
[Il la regarde, étonné] 17 ans de moins que mon mari.
[Daubray-Lacaze] Non ?!
[Bernadette] Si !
[Ah oui...]
[Daubray-Lacaze] Profession ?
[Bernadette] Horticultrice.
[Il ricane]
[Bernadette hausse la voix] Et au chômage pour cause de destruction de l'outil de travail !!
[Daubray-Lacaze ravale sa fierté] Profession du mari ?
[Bernadette] Maire sortant… et pollueur !
[Les partisans de Bernadette applaudissent. Bernadette, elle, reste imperturbable]
[Daubray-Lacaze] Vous signez !
[Elle signe. Daubray-Lacaze tente de la raisonner] Bernadette...
[Bernadette, toujours imperturbable] La séance est levée !

Mon programme en trois points : le plein emploi !

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M. Daubray-Lacaze et sa femme Bernadette, avec laquelle il est en conflit, donne une conférence de presse sous forme d'émission télévisée, chez lui, où il oppose son programme politique à celui de sa femme, qui se présente contre lui aux élections municipales.
[Technicien] Les caméras, en place, s'il vous plaît !
[Le couple Daubray-Lacaze est au maquillage]
[Assistant de Daubray-Lacaze] J'ai confiance en vous ! Vous allez la descendre, la ridiculiser !
[Daubray-Lacaze, un peu gêné] Oui, oui, bon, bah, ça va ! Je la raterai pas...
[La secrétaire] Vous allez lui faire mordre la poussière, à ce vieux réactionnaire, hein !
[Bernadette, également agacée] Oui, je sais ce que j'ai à faire ! Et puis, je vous en prie ! C'est encore mon mari !
[Assistante] Bon, si vous voulez bien prendre votre place !
[Technicien] La caméra deux, plus près du podium !
[Technicien, à Bernadette] Madame, mettez-vous là !
[Vers Daubray-Lacaze] Monsieur, s'il vous plaît !
[Régisseur] Attention, début d'émission dans trois minutes !
[Bernadette, à son mari] Ton col !
[Elle lui montre son col de veste. Il montre un geste de dédain. Elle lève les yeux au ciel]
[Technicien] Le cadreur de la caméra trois, en place, s'il vous plaît !
[Les projecteurs s'allument. Daubray-Lacaze croit que l'émission commence.]
[Daubray-Lacaze] Ah, ça y est !
[Il enchaîne directement] Mon programme en trois points ! Premièrement, le plein emploi ! Deuxièmement, le plein emploi...
[Le régisseur réagit] C'est pas encore à vous, arrêtez !
[Daubray-Lacaze continue, imperturbable] ...Troisièmement, le plein emploi !
[Bernadette réagit] Ah, c'est à moi, alors ! L'heure est venue de concilier croissance économique, et bien-être de la population !
[Le public applaudit. Daubray-Lacaze renchérit] Mon programme en trois points ! Premièrement, le plein emploi ! Deuxièmement, le plein emploi ! Troisièmement, le plein-em-ploi !
[Le régisseur] Mais arrêtez, bon sang, on est pas encore à l'antenne !
[Bernadette réplique] Nous pensons parfaitement au problème de l'emploi ! Les défenseurs de la nature ne veulent pas d'une croissance qui aliène l'homme ! Une croissance nouvelle ! Contrôlée ! Humaine !
[Daubray-Lacaze, à Bernadette] Vous parlez comme une femme qui n'a jamais travaillé !
[Bernadette] Espèce de tyran ! Despot ! Rétrograde !
[Daubray-Lacaze insiste] Mon programme en trois points ! Premièrement...
[La journaliste s'agace] Personne ne peut le faire taire ?!
[Bernadette lui fait signe] Si, moi !
[Elle s'adresse à son mari] Tu as détruit notre maison !
[Daubray-Lacaze réplique] Pour le bien de l'entreprise !
[Elle poursuit] Tu as détruit mon jardin d'hiver ! Ruiné mon potager ! Tu as détruit mes rèves ! Tu as piétiné mon coeur !
[Daubray-Lacaze se moque d'elle avec des mimiques] Arrête, ou je dis tout !
[Il réplique] Elle ne sait rien, j'lui disais jamais rien !
[Elle rigole] Ta comptabilité !
[Il s'étonne] Laquelle ?
[Bernadette] La vraie !
[Il jubile] Ha, ha, ha ! Elle est cachée !
[Bernadette jubile davantage] Oui, je sais !
[Elle court chercher quelque chose]
[Daubray-Lacaze poursuit, plutôt inquiet] Bon... mon programme en trois points... premièrement, le plein emploi, deuxièmement... le plein...
[Bernadette surgit au balcon, avec d'énormes dossiers dans les mains] Aaah, regardez, sous les placards à chaussures !
[Elle lance joyeusement le contenu des dossiers vers le public] Et hop ! Et voilà !
[Daubray-Lacaze tente de l'arrêter] Non !! Bernadette !
[Vous pouvez contrôler !]
[Daubray-Lacaze tente de réagir] Ne touchez à rien !! Vous êtes chez moi, foutez-moi le camp !
[Un technicien] L'émission commence !
[L'émission commence donc, avec, en premières images, le couple Daubray-Lacaze qui se dispute violemment]

Bernadette, mon amour, délivre-moi !

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Daubray-Lacaze s'est fait enfermer dans son four industriel, à cause d'un automatisme défaillant. Sa femme accourt pour le libérer, puis... opte pour la technique du chantage en vue d'obtenir ce qu'elle veut...
[Daubray-Lacaze] Bernadette ! Bernadette, mon amour, délivre-moi ! Ooooh ! Délivre-moi, je cuis !
[Bernadette, joueuse] On a tout notre temps !
[Daubray-Lacaze] Nooon, je commence à cuire, ouuuvre !
[Bernadette] A une condition...
[Laquelle ?!]
[Bernadette] On quitte l'usine...
[Nnnoui...] On s'installe en Provence...
[Nggggh !] Et on a des moutons !
[Daubray-Lacaze] Oui, non... Jamais !
[Bernadette] Très bien ! Bonne nuit !
[Daubray-Lacaze] Oh non, Bernadette, mon amour, reviens, reviens ! Je suis cuit ! Je cuis, je cuis ! Ouuuuuvvvre !
[Bernadette] Tu acceptes ?
[Daubray-Lacaze, pas très convaincu] Ouiii...
[Bernadette, insistante] Tu acceptes ?!
[Daubray-Lacaze] Ouuuuiiiiii !!
[Bernadette lui fait signe de la tête]
[Daubray-Lacaze] Oh là là, ouiii, mon amour !
[Elle le libère enfin. Il sort] Oh, ah, oh...
[Il reprend ses esprits] J'allais te le proposer !

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