Septime est retenu au commissariat, où il est retenu par le commissaire divisionnaire à la suite de la disparition du Président Novalès. [Le commissaire] Oui, tout va très bien... Tout va même pour le mieux ! Un chef d'Etat, invité de notre pays, est enlevé en public dans votre restaurant... l'honneur de la France est en jeu... des complications diplomatiques sont en vue... une déclaration de guerre, et ce sera l'apothéose de la Félicité ! [Septime est confus] [Il s'énerve] Y'avait vraiment pas de quoi prévenir la police, en effet ! [Septime] Ecoutez, je me suis affolé, puis j'ai perdu la tête ! [Le commissaire] Bon ! Vous l'avez récupérée ? [Septime] Quoi ?! [Le commissaire, énervé] Votre tête ! [Septime] Bah oui, elle est là ! [Le commissaire] Bon ! Alors, mettez-vous bien ça dedans... [oui ?] Un Président a disparu chez vous... [oui...] faut qu'on me le retrouve ! [Septime] Mais j'y suis pour rien, Mons... [Le commissaire le coupe] Nan, mais attendez, c'est chez vous qu'il a disparu, oui ou non ? [Oui !] [Il poursuit] Bon. Vous êtes donc le premier suspect ! [Septime s'énerve] Mais c'est pas possible ! Mais qu'est-ce que vous voulez que je fasse d'un Président ?! Ecoutez, un chef cuisinier, moi, m'est, m'est plus utile qu'un chef d'Etat ! [Le commissaire] Et vous trouvez ça drôle ?! [Septime] Oh non... non, non, M. le Commissaire Divisionnaire... [Le commissaire] Moi non plus ! |