[Blaze chante en pensant à la Reine d'Espagne, dont il est secrètement amoureux] [Don Salluste, qui dort à l'étage du dessous] Roooh ! On a un grand pendard qui chante maintenant ! Eh ! Là-haut ! Blaze ! Blaaaaze ! Taisez-vouuus ! Vous allez réveiller tout le palais ! [Il continue de chanter] [La Reine est flattée par ses chants] [Blaze s'adresse au téléspectateur] C'est la Reine ! Elle est bavaroise ! [Don Salluste répond] Elle est jolie, mais elle est bête ! [Blaze continue de chanter. La Reine, toujours à son balcon, écoute la sérénade. C'est alors que Doña Juana, la duègne, fait irruption dans sa chambre] [Doña Juana] Majesté ! Une Reine d'Espagne n'écoute pas de chansons, quand le Roi est à la chasse ! [Elle ferme les volets] [Blaze se met alors à danser] Qui va à la chasse, perd sa place ! [...] Parce que moi, la Reine, je l'aime ! Moi, un valet, j'ose ! [Ses pas font du bruit à l'étage du dessous. Don Salluste s'énerve] Il tape des pieds, maintenant ! Eh ! Eh ! Attends, tu vas voir ! [Il monte sur une table] Blaze, mon valet, amoureux de la Reine ! Il est fou ! Il va se faire écarteler ! Eh ! Tu vas voir ! Viens ici, toi ! Viens ici ! [Blaze continue de chanter et danser] Y chante ! Y tape ! Y piétine ! Eh ! [Debout sur la table, il tape au plafond avec un manche en bois] C'est fini, oui, de faire le joli coeur à deux heures du matin ?! [Il tape au plafond] Eh ! Oh ! [Il tape plus fort. Le manche transperce le plafond. Blaze s'arrête de danser, et saisit le manche]
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